Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Beauté-famille-sexualité

Le but de ce blog est de parler de la beauté, de la famille et de la sexualité en prenant appui sur la communauté Guin et Mina. La communauté Guin et Mina a une culture riche de plus de 3,5 siècles mais peu connue. Aujourd'hui, cette communauté n'est visualisée qu'à travers les pratiques sexuelles peu positives d'une minorité de femmes guinnou ou Mina. Ce blog revisite l'organisation sexuelle du peuple Guin et Mina à travers le temps (approche diachronique) afin d'en tirer des inspirations susceptibles de façonner notre mode de vie contemporain. Mot clés : #Beauté, #Sexualité, #Famille, #Guin, #Mina

Les influences de la modernité sur l'organisation sexuelle chez les Guin et Mina, volet4

Volet4: La prolifération des unions libres (suite) : la question de la responsabilité des parents

La question posée ici est de savoir : " à quelles normes sociales est soumise, de nos jours, l'entrée en activité sexuelle au sein de la communauté Guin et Mina ?" Alors que dans le précédent article, on s'était concentré sur deux angles d'analyse : 1) l'âge au premier rapport sexuel ; 2) les circonstances de consommation du premier acte sexuel, dans le présent article et le suivant l'accent sera mis sur deux autres déterminants : 3) l'état de la responsabilité parentale en matière d'éducation de leurs enfants et 4) l'autonomisation précoce des jeunes gens (des jeunes filles notamment). Insistons ici d'abord sur la question de la responsabilité parentale.

D) L'état de la responsabilité parentale aujourd'hui en matière d'éducation des enfants

Deux groupes de perception émergent des données collectées sur le terrain : d'un côté, ceux et celles qui insistent sur la démission parentale en matière d'éducation de leurs enfants, et l'autre, les enquêtés qui soutiennent que l'autorité des parents est plutôt affaiblie aujourd'hui par l'immiscion des modèles éducatifs extérieurs dans le processus d'éducation des enfants.

1) La défaillance de la responsabilité parentale en matière d'éducation de leurs enfants

 

« Les parents ne servent plus de bons exemples à leurs enfants [... ] » laisse entendre l'un des enquêtés qui donnait une explication au constat selon lequel les jeunes gens vont assez tôt au sexe aujourd'hui. 

 

« [...]. La cause première d’un tel phénomène est la démission des parents, soit les parents n’assument pas suffisamment les besoins élémentaires de leurs enfants, soit les pères ont abandonné leurs épouses, laissant à elles-seules les charges des enfants. Dans ce dernier, les mères font ce qu’elles peuvent pour en être à la hauteur. Dans l’un ou l’autre cas, si les enfants sont des filles, dès l’âge d’adolescence, elles commencent à se « débrouiller » pour assurer elles-mêmes leurs besoins. Elles commencent généralement vers l’âge de 13-14 ans. Si elles se débrouillent et que, par la grâce de Dieu, elles tombent sur un homme bien (ou des hommes) qui assument leurs besoins, c’est de là qu’elles deviennent irrespectueuses vis-à-vis de leurs parents. Elles les ignorent en quelque sorte. Lorsque les parents parlent ou leur donnent des conseils, elles ne les écoutent plus.

 

Voilà, le point de départ de ce phénomène. Toi, parent, qui n’assumes pas tes responsabilités parentales, quelle autorité peux-tu prétendre avoir sur ton enfant ?

 

Une autre cause est la situation de polygamie instituée dans un contexte de dénuement total. Déjà, dans le premier ménage, le papa n’arrivait pas à assumer les besoins fondamentaux des membres du ménage (épouse et enfants). Ils sont à l’étroit dans un logement ; et, dans un tel espace restreint, certains hommes y ramènent d’autres femmes, tiennent avec elles des actes sexuels. Dès lors, les enfants vivent des situations peu recommandées depuis leur famille et reproduisent, plus tard, le même schéma. Vous avez précédemment demandé à mon épouse quelles sont les pratiques issues de sa socialisation qu’elle reproduit aujourd’hui dans son ménage ? C’est exactement une situation analogue. Les parents, à l’origine, n’ont pas servi de bons exemples à leurs enfants en matière de sexualité.

 

Mais ce n’est pas tout. En parlant de modèle de base, il y a de nombreux parents qui tiennent des écarts de langage, les uns envers les autres, en présence de leurs enfants. Si c’est le père qui humilie son épouse en présence des enfants, ceux-ci finissent par imiter leur père et manquer du respect à leur maman et vice-versa. Dès lors qu’il n’y a pas une concordance de voix autour de l’éducation des enfants, cela laisse beaucoup trop de liberté aux enfants à faire ce qu’ils veulent.

 

À cela s’ajoutent les cas de séparation précoce des parents vivant dans le même environnement. Très tôt, les enfants se trouvent partagés entre deux maisons parentales. Tantôt, ils sont avec le papa, tantôt, ils sont avec la maman. En grandissant, de nombreux enfants profitent de la faiblesse de dialogue entre leurs parents pour mener une vie dépravée précoce. En cas de discordance de voix entre les deux parents, les enfants se réfugient généralement là où ils ont une vie facile.

 

Il faut ajouter un autre constat, autrefois, c’était toute la communauté qui éduquait les enfants. Aujourd’hui, plus personne n’ose faire des remontrances aux enfants d’autrui. Car, dès qu’on essaie, les parents des enfants fautifs viennent vous injurier proprement devant les enfants ; ce qui accroit leur degré d’impolitesse vis-à-vis des autres membres de la famille.

 

Pour illustration, supposons que la tante d’une adolescente lui fait des remontrances ; la mère s’insurge et insulte la tante devant la fille. Plus tard, cette fille ne respectera plus sa tante. Mais, au fil des jours, cette fille, lorsqu’elle commence à se faire entretenir par les garçons à l’extérieur, dirige son comportement d’impolitesse vers la maman, elle-même. La maman qui avait auparavant eu des écarts de comportements, pensant protéger sa fille, se trouve à présent désemparée face à la dépravation de sa fille, mais elle ne peut en parler à personne. Même si, elle s’en plaignait, plus personne n’ose dorénavant lui venir en renfort. Face à l’impuissante autorité de la mère, la fille peut alors se livrer à tous les jeux interdits pour son âge ; voire quitter carrément la maison pour aller louer une piaule ailleurs dans le même espace de vie ou dans une autre ville pour retrouver sa liberté entière et totale. [...] » (Monsieur Béni, quadragénaire).

 

Cet extrait d'entretien est représentatif du point de vue des enquêtés qui mettent en cause la responsabilité des parents dans le rapport des jeunes gens au sexe aujourd'hui. Mais un autre groupe d'enquêtés n'est pas de cet avis.

Les influences de la modernité sur l'organisation sexuelle chez les Guin et Mina, volet4
Les influences de la modernité sur l'organisation sexuelle chez les Guin et Mina, volet4

2) Les influences extérieures sur l'éducation des enfants : une éducation aujourd'hui partagée entre flexibilité et rigidité

« […] Un jour, ma fille m'a appelé et a dit ceci "papa, j'ai mes règles et j'ai mal" ; je lui ai dit : "va à la pharmacie pour prendre des médicaments". Or, elle aurait pu appeler un copain ou une copine si je me comportais vis-à-vis d'elle de façon trop rigide. Pour donner une bonne éducation aux enfants, il faut que les parents soient unis ; il ne faut pas que, lorsque maman dit quelque chose à l'enfant, le papa dise le contraire », affirme un enquêté de 49 ans, marié et monogame. Le gage d’une éducation harmonieuse et solide, c’est d’abord l’entente entre les deux parents, a-t-il martelé. Cet enquêté se dit très proche de ses enfants, au point où mêmes ses filles n’hésitent pas à se référer à lui pour leurs questions intimes. « L’éducation des enfants aujourd’hui est délicate, il faut s’y prendre avec tact », a-t-il rajouté, visiblement satisfait d’avoir pu maintenir la ligne éducative propre à sa communauté malgré un environnement en pleine déliquescence.

 

Une autre enquêtée, 45 ans, divorcée et vivant seule avec ses six enfants, indique dans les lignes qui suivent le comportement qui devait être celui des mamans, notamment, en matière d’éducation sexuelle des filles :

« Selon l’éducation que j’ai donnée à mes filles, à 18 ans, elles sont autorisées à avoir un copain. Mais, la consigne est qu’elles me présentent l’homme avec qui elles sortent. Ainsi, en cas de problème, je saurai à qui m’adresser. Toutefois, cette autorisation n’est pas un passeport pour accepter tous types de présents que les garçons leur offrent. Par exemple, un homme a, une fois, offert à l’une de mes filles une moto. Je lui avais intimé l’ordre de la retourner au donateur. Elle avait longtemps pleuré mais avait fini par la rendre. J’avais peur que ma fille meure pour avoir accepté une moto achetée peut-être avec de l’argent de provenance impure. Si je n’avais à l’origine reçu une éducation me permettant de n’être pas matérialiste, c’était moi-même la maman qui allait pousser ma fille à soutirer de l’argent aux garçons si on est confronté à des difficultés financières en famille du fait que l’homme, chef de ménage, ne nous donne pas de l’argent pour satisfaire à nos besoins.

Tenez-vous bien, lorsque je parle d’éducation, il ne faut pas attendre l’âge de maturité de l’enfant pour commencer à lui transmettre des valeurs utiles. L’éducation d’un enfant débute, très tôt, dès que ce dernier se met à parler. Il ne faut certainement pas attendre que l’enfant ait 10 ou 15 ans avant de vouloir bien l’éduquer. Ce serait trop tard. L’éducation débute dès que l’enfant commence ses premiers pas et ses premiers mots. On adapte l’éducation à l’âge de l’enfant, et ce, sur tous les plans (l’ordre et le rangement, la politesse, les valeurs de vie, etc.). Par exemple, en matière de sexualité chez les filles, dès qu’une fille a ses premières règles, la maman doit lui apprendre comment il faut utiliser les serviettes hygiéniques ; les risques et les conséquences liés à cette nouvelle étape de maturité dans sa vie ; etc. Si la maman attend que la fille soit tâchée du sang des menstrues avant de commencer à hurler, alors cette maman est en tort. Me concernant, lorsque mes filles commencent leurs menstrues, je les instruisais par rapport aux comportements hygiéniques à observer : à notre époque, nos mamans nous donnaient des bouts de pagne usé comme couche hygiénique, ce temps est dépassé ; moi, j’ai appris à mes filles l’utilisation des serviettes jetables. Dès que l’une de mes filles a ses premières menstrues, je l’amène à douche et lui montre comment faire l’usage de la serviette hygiénique. Le matin, je m’assure qu’elle en a portée et lui mets quelques-unes en réserve dans son sac. Je lui dis que dès qu’elle se sent mouillée, de se retirer dans les toilettes pour se changer.

Par ailleurs, concernant les filles particulièrement, je ne cautionne pas qu’elles manquent de nourriture et je leur apprends très tôt à cuisiner pour qu’au cas où, en mon absence, elles ont faim, elles puissent se servir elles-mêmes. La dépravation des filles commence lorsqu’elles ne trouvent pas à manger dans leur famille. Si malgré cette précaution, ma fille sort sans m’informer, alors elle aura affaires à moi. Car, quel que soit le lieu où elle doit se rendre, elle est tenue de m’informer, je dois le savoir. Les sorties avec ses amies, les courses personnelles, etc., je dois être informée de tous les mouvements de ma fille. Outre l’éducation, le comportement de la maman doit aussi servir d’exemple (ou de modèle) à la fille. Si toi, la maman, tu te fais draguer par des hommes en présence de ta fille, alors tu lui montres la voie de la dépravation. Et lorsque la fille va s’y mettre, la maman n’aura plus d’autorité sur elle. S’il s’avère que la maman est divorcée, il vaudrait mieux qu’elle aille aux rencontres coquines hors de son ménage et à l’insu de ses enfants ».

 

Les deux extraits d’entretien ci-dessus montrent les investissements personnels des parents dans l’éducation de leurs enfants pour que ces enfants se démarquent de la masse. Que ce soit l’homme ou la femme, il y a un minimum de suivi et d’implication personnelle à faire dans le processus de socialisation des enfants. Les valeurs éducatives voulues dans la famille, ce sont les parents qui les inculquent à leurs enfants et, ce, dès leurs premiers âges et progressivement suivant les différentes étapes de la vie. Au-delà de tout, la meilleure éducation se fait par l’exemple, martèlent ces enquêtés.

 

La rigueur doit accompagner le processus d’éducation des enfants, surtout des filles, martèle un autre enquêté de 60 ans. Il faut poser des lignes rouges, des balises, à ne pas franchir, et, cela passe par des interdictions : un certain nombre d’actes est interdit aux enfants comme par exemple la possession du téléphone avant la fin des études secondaires. S’il y a forcément une autre chose à interdire aux filles surtout, c’est le travail dans les buvettes.

 

Une autre enquêté de 49 ans est bien de cet avis : « Personnellement [dit-elle], je déteste travailler dans les bars. Dans ce sens, j’ai toujours sifflé dans les oreilles de mes filles que travailler dans les bars et se laisser toucher par n’importe quel garçon n’est pas une bonne option. Mes filles peuvent travailler dans les restaurants, mais en tant que cuisinières et non en tant que servantes. Mes filles peuvent faire le commerce, et non aller travailler dans les bars. Car, ce type de travail qui expose les filles aux dragues des hommes, finit par les faire tomber dans des voies de facilités et de débauche sexuelle. C’est à travers les pourboires que les hommes parviennent à avoir raison des filles qui servent dans les bars. En fonction de l’importance des pourboires que les hommes leur donnent, les filles changent de partenaires comme des chaussettes. Cet état de choses ne pouvait advenir à notre époque. Nos mamans étaient très strictes en matière de sexualité. Par exemple, en notre temps, si une fille se gratte le pubis et que l’une des mamans la surprenait, elle était foutue. Ce simple geste était interprété comme un désir sexuel. La conséquence qui s’en suivait était que les mamans faisaient écraser du gingembre, en extrayaient le jus, puis faisaient immobiliser la fille qui a fait un tel geste et lui mettaient le jus du gingembre dans le vagin. La crainte d’une telle sanction faisait que les filles n’osaient pas se gratter le pubis publiquement. Jusqu’à ce jour, j’ai gardé de telles habitudes et me sens gênée lorsqu’une femme se gratte le pubis en ma présence ».

 

L’enquêté de 60 ans cité plus haut continue d'être dans la logique d'interpellation face à des attitudes sexuelles jugées déviantes : « Dans ce quartier, nous interpellons fréquemment les enfants par rapport à leurs attitudes, les enfants qui regardent les fesses des filles, quand on les surprend, on les tape. Nous ne disons pas que nous sommes les meilleurs en matière d’éducation de nos enfants, mais on fait ce qu'on peut » dit-il. Pour ces parents qui continuent d’appliquer le procédé ancien des fouets (ou chicottes), il est clair qu’une telle méthode est indispensable dans le processus de l’éducation des enfants.

Les influences de la modernité sur l'organisation sexuelle chez les Guin et Mina, volet4
Les influences de la modernité sur l'organisation sexuelle chez les Guin et Mina, volet4
Les influences de la modernité sur l'organisation sexuelle chez les Guin et Mina, volet4

Comme on peut le constater, même les parents qui s’investissent  sérieusement dans l’éducation de leurs enfants -avec ou sans lanières-, n’affichent plus cette fierté légendaire qu’on connaissait des «GƐn»/Mina en matière d’éducation. L'assurance a cédé la place à la relativité, « on fait ce qu’on peut », tant de nombreux facteurs non maîtrisés s'invitent dans le processus d'éducation en toute impuissance des parents.  L'attitude peu satisfaisant des jeunes gens s’expliquerait alors par le fait que certains facteurs extérieurs viennent brouiller aujourd’hui les efforts  fournis par les parents en matière d'éducation de leurs enfants. Au nombre de ces brouilleurs, les parents ont identifiés :

 

Les droits des enfants / de l'homme

« Avec la démocratie, les droits de l'Homme, les hommes n'aiment plus taper leurs enfants de peur d'être frappés par la loi. On a eu ce cas ici, un enfant de 10 ans qui a fait condamner son père, parce qu'il l'a tapé, les enfants d'aujourd'hui connaissent les droits des enfants, et seuls les parents qui veulent des résultats résistent encore, les autres abandonnent l'éducation des enfants » a affirmé l’enquêté de 60 ans cité plus haut. Mais d’autres enquêtés avant lui s’en étaient également plaints. Même dans les couvents, hauts lieux d'éducation autrefois, la prise en compte des droits de l'homme a permis de relativiser les sévices corporels aujourd'hui (voir l'explication du roi des Lâ dans la vidéo ci-dessous).

Les effets néfastes des émissions télévisées

« Il faut aussi souligner que la télévision a contribué à la dépravation des mœurs chez les jeunes. Certaines mamans laissent les enfants regarder la télévision jusqu’à une heure tardive, parfois, au détriment des leçons en arguant que les enfants tirent des savoirs des émissions télévisées. Or, il y a certaines émissions qui ne sont pas conseillées aux enfants. Par exemple, les émissions dans lesquelles les gens s’embrassent, se caressent ou font l’amour (rapport sexuel). À force d’être exposés à de telles pratiques, les enfants finissent par les imiter, les mettre en œuvre. Ce n’est pas bon d’y exposer les enfants immatures. Mais à partir d’un certain âge, on peut laisser les enfants regarder de ces genres d’émissions sans interdictions. En parlant de la télévision, je dois lancer un appel aux autorités pour que certaines émissions soient censurées. Toutes ces émissions au cours desquelles les gens se mettent à s’embrasser devraient être interdites. C’est comme cela que se passe en Lybie. Là-bas, on fait passer des émissions d’éducation civique, et non des conneries dans lesquelles les gens s’embrassent. Il y a aussi, le fait qu’on enregistre trop de mouvements en faveur des droits de l’homme, des droits d’enfants. Ceci contribue à écarter les enfants de certaines valeurs locales » a martelé une enquêté de 49 ans.

 

Il faut censurer certaines émissions, il faut adapter les droits des enfants aux valeurs locales, tels sont les points qui ressortent de ces extraits d’entretien dans l’optique de faciliter la tâche éducative aux parents. L’enquêtée de 49 ans citée ci-dessus nous présente ci-après la formule qu’elle a trouvée pour limiter les effets néfastes des émissions télévisées sur les enfants :

« Me concernant, voici l’organisation que j’avais mis en place pendant l’année scolaire : à 17 heures,  je finis de préparer le repas du soir (le dîner) ; les enfants dînent entre 18-19 heures ; je les laisse regarder la télévision jusqu’à 20 heures ; après cela, ils révisent leurs leçons et vont au lit. Je les réveille vers 6 heures ou 6 heures 30 minutes pour s’apprêter pour l’école. Mes enfants vont toujours à l’heure à l’école » ajoute cette enquête de 49 ans.

Les brouilles en matière d’éducation imposent aujourd'hui beaucoup plus de contraintes aux parents non seulement en matière de suivi de leurs enfants mais également en matière d’organisation personnelle et familiale voire en matière d'adaptation professionnelle.

Les influences de la modernité sur l'organisation sexuelle chez les Guin et Mina, volet4
Les influences de la modernité sur l'organisation sexuelle chez les Guin et Mina, volet4
Les influences de la modernité sur l'organisation sexuelle chez les Guin et Mina, volet4
Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article